4 déc. 2007


Pour continuer mes petit textes... voici une histoire originale que j'ai commencée il y à peu, le scénario n'est pas encore tout à fait placée dans ma texte mais bon... il y a longtemps que je passe mon temps sur l'histoire principale, disons que ce que j'ai écrit n'est qu'une annexe de l'histoire que j'écrit a temps perdue... ce serais le POV d'une des servantes et amies de ma personnage principale mais bon... voici ce...truc...:

Quel honneur d’être au service de la famille royale depuis tant d’année! Moi qui petite croyais déjà que ma vie ne pourrait jamais être améliorée. Ayant été adoptée par de pauvres gens de la capitale je ne voyais aucun moyen d’améliorer mon sort mais je me trompais lourdement. Je me souviendrais toujours de cette journée fatidique où ma mère adoptive me leva à l’aurore pour m’habiller avec mes habits de fête, j’étais surprise car il n’y avait rien de spécial de prévus cette journée là. Finalement elle me racontas qu’une amie gouvernante lui avait confié que le palais recherchait une jeune servante, la précédente ayant succombée d’une quelconque maladie. Faisant profit de cette information, Mira avais décidée de soumettre sa fille adoptive à une entrevue au palais, s’imaginant que si elle serait engagée elle rapporterait des revenue appréciable à la petite famille qu’ils étaient. Pendant qu’elle m’expliquai son idée, je sentait des sueur froides coulant le long de mon échine. Qui était-je moi, petite Reiko, fille de personne, fille sans éducation, pour penser un seul instant me faire embaucher au palais. Je ne voulais pas mais j’y suis poussée, les autres ayant décrété que c’était une chance à prendre. Finalement Mira m’accompagnas au palais, me poussant de ci de la, trop morte de trouille que j’était pour marcher de moi même. Arrivée devant la grande porte je m’arrêtait, impressionnée que j’était devant un simple portail. Simple portail qui, sois dit en passant, était tout de même très impressionnant pour moi, moi qui ne l’avais vu que de loin j’était maintenant assez proche pour y poser la main, je la tendis allant la poser sur l’ardoise la composant que je fus arrêtée dans mon élan par ma mère qui me tiras vers une minuscule porte non loin. Elle frappas trois coup sec mais retentissant, on entendit un grand fracas venant de l’autre coté de la porte et une jeune fille d’environs mon âge ouvris la porte, passablement essoufflée. Elle ouvris la porte en grand et nous fis entrer ma mère et moi, maintenant que nous étions entrées je ne pu m’empêcher de laisser passer un légère exclamation de surprise en voyant mieux la jeune fille en question. C’était une fée! Une vrai comme dans les histoires que les grands se racontait au coins du feu. Je savais bien sûr qu’elles existaient réellement, mais il était bien connue qu’elles ne s’aventurais jamais hors de leurs terre sans avoir d’excellente raison, les gens racontait beaucoup d’histoire sur les terres des fées mais personne n’en avais un réel avis, personnes n’y ayant jamais été et les fée elle-même étant très discrète sur le sujet. Moi qui n’en avais jamais vue en avais une devant les yeux. Je ne pouvais m’empêcher de la trouver très belle, elle avais la peau très blanches, presque translucide et de magnifique yeux d’un turquoise profond, tout comme ses cheveux. Un détail cependant attiras mon attention plus que tout le reste, cette fée n’avais pas d’ailes! Mon qui croyais que toutes en avais, je me tournait vers ma mère pour lui adresser la parole quand un dame assez âgée arrivas et adressa la parole à ma mère.

-Bonjour, vous devez être madame Mira Silnea, j’ai raison?

Ma mère fit un léger signe de tête pour approuvez les dires de la vieille dame.

-Oui c’est bien moi.

Le regard de la vieille se mit alors à brillez alors qu’elle me détaillait des pied à la tête en s’adressant à ma mère, moi, toute embarrassée que j’était je me cachait derrière ma mère mais elle s’écartas, laissant l’autre me détailler.

-Bien, je suis Sanae la première gouvernante du château, et je suppose que cette jeune damoiselle est la petite Reiko?
-Effectivement, c’est ma fille.
-Bien, bien…

Elle s’inclinas un peu pour se mettre à mon niveau et s’adressa directement à moi.

-Alors Reiko, quel âge à tu donc?

Je me mit à rougir et voulu retourner derrière ma mère mais elle me poussa vers l’autre dame, m’obligeant à répondre. Sur le coup, je me mis à bégayer.

-J-j’ai dou-douze ans mada-dame…

Elle me regardas doucement, presque attendrie. Puis elle me posa une question, me laissant décider de mon futur.

-Alors Reiko… dit moi, aimerais tu venir habiter au palais avec moi?

Je regardais ma mère, un peu perdu.


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